Comment passer de 2 à 50 associés en moins de 5 ans ?

Il est à l’origine de l’un des cabinets les plus atypiques du marché : parce qu’ils sont plus de cinquante associés et moins de dix collaborateurs, parce que plus de 50% des associés sont des femmes et, enfin, parce qu’il semble n’y avoir aucune hiérarchie. 

Incroyable mais vrai, il est quand même à la tête de ce qu’il est communément appelé une « grosse structure » et, pourtant, il n’est mentionné nulle part qu’il en est le fondateur, le managing Partner, ou le chef quoi !

Le cabinet n’ a pas fini de grossir, ils ont des bureaux à Paris, Nantes, Bordeaux, Lyon et Aix-en-Provence … Quatre nouveaux associés viennent de rejoindre le cabinet, qui propose notamment une alternative innovante aux conventionnelles relations cabinet/avocats/clients. 

A l’heure où beaucoup de questions se posent pour redéfinir les contours de l’association et de la collaboration, on a voulu entendre son point de vue que l’on l’espère disruptif, pour reprendre un terme à la mode. 

Nous sommes ravies d’accueillir dans ce nouvel épisode d’Avocats génération entrepreneurs, Olivier Lopez, co-fondateur du cabinet Squair.

Il a monté des startup depuis qu’il est étudiant, c’est un touche à tout qui voulait être avocat mais qui a renoncé et tant mieux ! Parce que finalement il a continué à entreprendre et pour les avocats, d’abord, avant d’élargir aux  professionnels du droit ensuite. 

Il a été un des fondateurs d’Hercule la première agence de conseil aux avocats pour monter après sa propre boîte de conseil et des milliers d’autres. A Paris on le connait comme le faiseur de roi puisqu’il a contribué à faire élire Marie-Aimée Peyron er Basile Ader, Julie couturier et Vincent Nioré et dernièrement Pierre Hoffman et Vanessa Boussardo.

C’est vous dire si on est ravies d’accueillir dans ce nouvel épisode d’Avocats Génération 

Entrepreneur Alexis Deborde 

Dans cet épisode nous avons l’honneur de recevoir deux confrères aux parcours très différents qui ont uni leur force pour créer un cabinet tout aussi différent.

Notre première invitée, Néda Habillat est une passionnée du droit, elle a d’abord été enseignante-chercheuse à Paris 2, elle a ensuite passé le barreau et a travaillé pendant plus de 10 ans comme collaboratrice d’avocats aux conseils.

Notre deuxième invité, son associé, est Fred-Eric Bergheimer.

Fred-Eric ne voulait pas être avocat, mais il a été rattrapé par la génétique (il semblerait que toute sa famille soit avocat). Il passe le Barreau à presque trente ans après un début de carrière en entreprise et en micro finance. Il devient donc naturellemment avocat en droit des affaires. 

Fréd-Eric est passionné de théatre mais surtout de droit et de technique juridique.

Ces deux exaltés du droit ont décidé de s’unir pour créer le cabinet Seconda, qui comme son nom l’indique est une société d’avocats destinée à seconder, aider, soutenir les avocats sur des problématiques de droit pur, dans toutes les matières.

Quand t’es avocat en droit commercial, ou en droit des affaires, on vous rétorque souvent « ha ca rigole pas hein », et puis on passe au voisin.

Mais avec Audrey on est certaine que grâce à la niche qu’elle a choisi notre invitée suscite beaucoup plus d’enthousiasme ou de questions (que nous), au cours de ses sorties mondaines.

Parce que notre invitée est certes généraliste en droit des affaires mais, elle a dédié intégralement son activité à la mode, et pas à n’importe quelle mode !

En effet, Glynnis Makoundou que nous avons leu e plaisir de recevoir dans cet épisode a créé un cabinet d’avocat pour les acteurs de la mode et du luxe qui souhaitent développer une activité engagée et Eco responsable !

Après avoir obtenu un DJCE en droit des affaires, Glynnis a fait ses premiers pas entant que juriste dans une start-up.

Entrepreneuse dans l’âme et passionnée de mode, elle crée ensuite sa propre marque de vêtement.

Après 3 ans à la tête de son entreprise, forte de son expérience et consciente des enjeux du développement durable dans le monde de la mode, la boucle est bouclée, Glynnis se donne comme mission d’aider le monde de la mode et du numérique à construire des entreprises responsables. Elle crée alors en 2022, son cabinet Eponyme Glynnis Makoundou Avocat, dont la devise est le droit à la Mode !

Très bonne écoute 🎧 !

Pour notre génération, il n’y en aura pas beaucoup des procès du siècle.

Les chiffres sont vertigineux, au moins 330 avocats constitués, 1765 parties civiles et 14 accusés

Nous sommes la génération des attentats de Charlie et du Bataclan …O sait tous ce que l’on faisait lorsque l’on a appris, lorsque l’on a compris. 

Certains d’entre nous ont perdu des proches et nous avons tous vécus pendant 10 mois avec les brèves de ce que l’on a appelé "Le procès du siècle".

Pour nous, avocats, ce procès c’était peut-être autre chose . C’était la démonstration de ce que la défense peut faire de plus noble, de plus grand. Je ne plaide plus depuis bien longtemps, mais j’ai eu envie de donner un peu de ma force à ces confrères que je voyais sur mon poste de télévision épuisés, les traits tirés. 

Ont-ils tous été parfaits ? non certainement pas, toujours dignes ? non plus. 

Mais on s’en fou, ce que nous avons gardé en tête avec Charlotte, ce sont ces robes noires, nos confrères, qui ont assisté leurs clients comme ils ont pu, donnant le meilleur d’eux même probablement en se dépassant, laissant de coté leur vie et certainement leur cabinet. 

Il ont été pendant 10 mois, aussi, l’emblème de notre profession.

Dans cette armée de robes noires, il y avait notre consœur Olivia Ronen et notre confrère Martin Vettes qui défendaient celui qui a polarisé l’attention, Salah Abdeslam. Ils ont été, avec leur client, au centre du procès. 

Martin était collaborateur au moment où il a pris la décision de rejoindre Olivia, alors comment monter son cabinet après avoir plaider le procès du siècle ? C’est la question que l’on a eu envie de poser à Martin Vette que l’on est ravies d’accueillir dans ce nouvel épisode d’avocats génération entrepreneur.

Notre invitée est fiscaliste, elle a été associée d’un big four pendant 10 ans d’abord à la Direction Régionale de Caen, puis au bureau de Saint Lô et c’est une des rares spécialiste en France de la taxe foncière.

Chers auditeurs ça y est on vous a fait rêver ? Mais qui a dit que la fiscalité ne pouvait pas être une matière où l’on entreprend et surtout où l’on innove ? En moins de 10 ans, notre invitée a inventé un process de vérification de la taxe foncière des professionnels et monté son cabinet.  

Plutôt que de se reposer sur ses lauriers, elle n’a pas peur de revoir aujourd’hui tout son synthème pour être au plus près des besoins de ses clients. On la prend donc au moment du bilan de la première version de son cabinet et juste avant la v2, elle nous parlera de comment elle a fait et surtout comment elle compte faire après. Nous sommes très fières d’accueillir
pour cet épisode Karine Ambroise avocate et entrepreneuse, fondatrice du cabinet Ambroise Avocats et du site « Je vérifie ma taxe foncière.com ». 

Avocate au Barreau de Lyon et Montréal, notre invitée
est également docteur en droit privé international. En 2021 elle a rejoint le
cabinet Deloitte et accompagne les clients de ce géant dans leurs contentieux
liés aux nouvelles technologies, à la data, au rgpd et conseille également ces
derniers en matière de blockchain, cryptmonnaie, Nft etc… 

Mais avant de rejoindre Deloitte, notre invitée a créé plusieurs legaltech dédiées au recouvrement de créances ainsi qu’à la Blockchain. 

Nous avons eu le plaisir de recevoir dans pour ce 36 ème épisode, la start
du web 3, de la blockchain,  et de la cryptomonnaies, Céline
Moille. 

On a beaucoup entendu parlé d’eux parce qu’ils ont remporté
le prix de l’Innovation des avocats en 2022 dans la catégorie
"Responsabilité sociale et Gouvernance". Ils se sont dotés d’une
mission « rendre le droit accessible dans un environnement responsable et
durable » et sont devenus société à mission. Parmi les premières de notre
profession ! La croissance de Victoire avocats c’est aussi le lancement
d’un puis deux podcasts, un blog, des infographies, des interventions pro Bono
dans des associations … on peut dire qu’ils ne chôment pas ! 

Bref compte tenu de cette progression fulgurante de ce jeune
cabinet, on a voulu savoir quels étaient leurs secrets de fabrication et c’est
pourquoi nous avons le plaisir de recevoir aujourd’hui dans cet épisode de
Avocats Génération Entrepreneurs, Marylaure Meolans avocate en droit du travail
et co-fondatrice du cabinet Victoire avocats.  

 C’est une chose compliquée l’interprofessionnalité, mais quand c’est réussi c’est une expérience incroyable à partager. 

Nos invitées font partie de celles et ceux qui ont fait de l’interprofessionnalité une réalité, on ne peut pas dire que c’est une route simple (mais finalement est-ce qu’il y a des associations simples ? ) c’est un voyage dans lequel elles se sont, avec leurs associés, engagées depuis
maintenant de nombreuses années. 

Nous avions envie de les recevoir sur notre podcast depuis longtemps (il faut trouver le temps) mais ce qui a mis le feu aux poudres, c’est un consultant spécialisé dans l’analyse de marché des avocats qui m’a dit dernièrement « moi la News letter de Taoma c’est celle que je préfère »  

Alors c’est quoi leur secret de cette association réussie et de ce parcours entrepreneurial un peu incroyable ? 

Pour répondre à ces questions, nous avons donc le plaisir de recevoir aujourd’hui dans Avocat Génération Entrepreneur Anne Messas, avocate, et Gaelle Loinger, conseil en propriété industrielle, qui font partie des fondateurs du cabinet TAOMA Partners avocats et conseils en
propriété industrielle.